bibliothèque municipale de Lyon

Scène de la ville extra-ordinaire = des indignés de Lyon défilent avec des pancartes improvisées aux cris de oh oh oh les Indignés ne sont pas résignés" en ce début d'après-midi du vendredi 11 novembre 2011 : ce sont tous des jeunes aux Terreaux.

Scène de la ville extra-ordinaire = des indignés de Lyon défilent avec des pancartes improvisées aux cris de oh oh oh les Indignés ne sont pas résignés" en ce début d'après-midi du vendredi 11 novembre 2011 : ce sont tous des jeunes aux Terreaux.

Scène de la vie extra-ordinaire : des légumes sculptés à la mode thaïlandaise et exposés lors de l'exposition des légumes des maraîchers de la région lyonnaise.

Scène de la ville extra-ordinaire: les passants prennent tous en photo l'exposition de légumes en cagettes dans une pyramide comme une attraction. Les maraîchers veulent attirer l'attention du public sur leur production et leurs conditions d'exploitation en occupant ainsi la place de la République pendant 3 jours (du 9 au 11 novembre 2011).

Pont : vue sur la rivière avec la colline en arrière plan vers 20h (lumière de fin de journée d'été) avec la passerelle de la Justice (type suspendue sur pilier unique), le quai des Célestins avec les installations pour l'été et la Fête Nationale du 14-Juillet, guinguette et scènes musicales. On voit bien que le quai sert de digue et la berge de promenade (avant travaux des berges), depuis le quai des Célestins, jusqu'au quai Saint-Antoine.

Le public du 14 Juillet, à 19h30, sur le quai des Célestins avant les concerts prévus et le feu d'artifice à 22h... En bleu un animateur-surveillant de la municipalité, des jeunes qui font une grosse partie du public de la Presqu'île ces soirs-là, des familles et d'autres personnages. Tous les bistrots ont fait leur terrasse et vont faire le plein de clients.

Enfilade de balcons de tous genres sur les immeubles du quai Saint-Antoine ; un immeuble de 5 étages, très décoré, avec des portes fenêtres à jalousie (garde-corps des fenêtres non assortis) et des baies ouvragés au 2e étage. Dernier étage sous brisis de béton avec type mansardes et dessous frise de billets ; un immeuble à fenêtres lyonnaises de largeur de façade, vertes et mini-balcon à balustrade assortie de verre sur encadrement jaune, billet en console de toit ; puis autre immeuble bis 3,5 étage à gauche avec balustrade vraie courant en porte-fenêtres au 1er étage ; ensuite morceau de l'immeuble - en gros plan après- avec son curieux belvédère-verrière au dernier étage et très hautes cheminées.

Petite maison d'un étage au milieu d'une cour d'immeubles avec un balcon de dégagement à garde-corps en bois ouvragé, toit avec fenêtre-fronton sur chaque côté. En arrière un autre bâtiment moderne (sur-construction), le tout appartenant à l'oeuvre Saint-Irènée (rue Sainte-Hélène).